Titre : Elle s'appelait Sarah
Titre original : Sarah's key
Auteur : Tatiana de Rosnay
Traducteur : Agnès Michaux
Edition : LGF
Titre original : Sarah's key
Auteur : Tatiana de Rosnay
Traducteur : Agnès Michaux
Edition : LGF
Cette édition contient des photos du film et une interview de Serge Joncour ( il a écrit le sénario du film ) et de Tatiana de Rosnay. Il a été adapté au cinéma par Gilles Paquet-Brenner en 2010.
4éme de couverture : Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans qui porte l'étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, au milieu de la nuit. Paniquée, elle met son petit frère à l'abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible.
Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un Français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vél d'Hiv. Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie va changer à jamais.
Elle s'appelait Sarah, c'est l'histoire de deux familles que lie un terrible secret, c'est aussi l'évocation d'une des pages les sombres de l'Occupation.
Un roman boulversant sur la culpabilité et le devoir de mémoire, qui connaît un succès international, avec des traductions dans trente-sept pays.
Mon avis : J'ai d'abord vu le film, que j'ai trouvé très bien, très émouvant, et très intéressant. J'ai alors décidé de lire le livre, dont une amie m'avait parlé, et qui ne m'en avait dit que du bien. Et je n'ai pas été déçue ! J'ai beaucoup aimé le style de Tatiana de Rosnay. Ce livre nous tient en haleine jusqu'au bout, aussi grâce à l'alternance des narrateurs. Il est chargé d'émotions, et à certains moments, j'ai même pleuré... On suit le destin de Sarah, jusqu'au moment où tout s'arrête. On y croit jusqu'au bout. On ressent le désespoir immense qui habite Sarah, la perte de ses parents, de son petit frère. Elle ne sera plus jamais cette petite fille souriante, et dynamique. A travers l'histoire de Sarah, c'est la brisure de toute une nation que Tatiana de Rosany évoque avec une étonnante justesse.
Le film : J'ai beaucoup aimé le film, que j'ai trouvé à la hauteur du magnifique roman de Tatiana de Rosnay.
4éme de couverture : Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans qui porte l'étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, au milieu de la nuit. Paniquée, elle met son petit frère à l'abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible.
Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un Français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vél d'Hiv. Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie va changer à jamais.
Elle s'appelait Sarah, c'est l'histoire de deux familles que lie un terrible secret, c'est aussi l'évocation d'une des pages les sombres de l'Occupation.
Un roman boulversant sur la culpabilité et le devoir de mémoire, qui connaît un succès international, avec des traductions dans trente-sept pays.
Mon avis : J'ai d'abord vu le film, que j'ai trouvé très bien, très émouvant, et très intéressant. J'ai alors décidé de lire le livre, dont une amie m'avait parlé, et qui ne m'en avait dit que du bien. Et je n'ai pas été déçue ! J'ai beaucoup aimé le style de Tatiana de Rosnay. Ce livre nous tient en haleine jusqu'au bout, aussi grâce à l'alternance des narrateurs. Il est chargé d'émotions, et à certains moments, j'ai même pleuré... On suit le destin de Sarah, jusqu'au moment où tout s'arrête. On y croit jusqu'au bout. On ressent le désespoir immense qui habite Sarah, la perte de ses parents, de son petit frère. Elle ne sera plus jamais cette petite fille souriante, et dynamique. A travers l'histoire de Sarah, c'est la brisure de toute une nation que Tatiana de Rosany évoque avec une étonnante justesse.
Le film : J'ai beaucoup aimé le film, que j'ai trouvé à la hauteur du magnifique roman de Tatiana de Rosnay.